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PAROISSE SAINT VINCENT
Eglise romane du 10ème siécle
Dévastée, remise en état en 1802, remplacée par l'église de style néogothique, la paroisse Saint Vincent fut reconstruite dès 1872 sur la crête d'une dune.
Détruite à 94% pendant la 2ème guerre mondiale, elle fut de nouveau restaurée.
Dévastée, remise en état en 1802, remplacée par l'église de style néogothique, la paroisse Saint Vincent fut reconstruite dès 1872 sur la crête d'une dune.
Détruite à 94% pendant la 2ème guerre mondiale, elle fut de nouveau restaurée.
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
La commune des Moëres, un polder asséché au début du XVIIe siècle, a vu l'ouverture de sa première église en 1644, dont la construction a débuté en 1628. Malgré cela, le village était souvent victime d'inondations majeures, endommageant progressivement l'église.
En 1826, une seconde église fut érigée pour remplacer la première, mais elle a connu le même sort et a dû être démolie en raison de sa dégradation.
En 1910, une église provisoire a été édifiée pour pallier cette situation.
En parallèle, une nouvelle église a été construite et ouverte en 1933. Cependant, elle a subi d'importants dommages en juin 1940, rendant impossible la célébration des offices. Les fidèles ont alors temporairement utilisé le Patronage Saint-Joseph, avant qu'une nouvelle église provisoire (l'actuelle) ne soit érigée en 1942 par le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme. Après sa rénovation, elle a été rendue au culte en 1950.
En 1826, une seconde église fut érigée pour remplacer la première, mais elle a connu le même sort et a dû être démolie en raison de sa dégradation.
En 1910, une église provisoire a été édifiée pour pallier cette situation.
En parallèle, une nouvelle église a été construite et ouverte en 1933. Cependant, elle a subi d'importants dommages en juin 1940, rendant impossible la célébration des offices. Les fidèles ont alors temporairement utilisé le Patronage Saint-Joseph, avant qu'une nouvelle église provisoire (l'actuelle) ne soit érigée en 1942 par le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme. Après sa rénovation, elle a été rendue au culte en 1950.
Stèle du Père Frédéric
La stèle érigée en la mémoire du Père Frédéric Janssoone fut construite avec le reste des briques de sa maison natale.
Natif de Ghyvelde, le Bon Père Frédéric Janssoone fut reconnu Bienheureux par le Pape Jean-Paul II, le 25 septembre 1988 à Rome.
Il consacra sa vie aux missions et à la propagation de la foi chrétienne, notamment en Terre Sainte et au Canada. Une partie de l’église paroissiale est consacrée à son culte. Le Père Frédéric charmait tous ceux qui le connaissaient par son extrême dévouement, sa profonde piété et une vie de privation peu commune.
Natif de Ghyvelde, le Bon Père Frédéric Janssoone fut reconnu Bienheureux par le Pape Jean-Paul II, le 25 septembre 1988 à Rome.
Il consacra sa vie aux missions et à la propagation de la foi chrétienne, notamment en Terre Sainte et au Canada. Une partie de l’église paroissiale est consacrée à son culte. Le Père Frédéric charmait tous ceux qui le connaissaient par son extrême dévouement, sa profonde piété et une vie de privation peu commune.
Musée des Pompes
A ciel ouvert.
C'est en 1620 que Wenceslas COBERGHER a réussi à assécher une étendue d'eau de 3 000 hectares à l'aide de 23 moulins à vent édifiés sur le pourtour du lac. C'est à cette date qu'est née Les Moëres. Mais depuis cette date, ce village a connu 4 autres inondations. En 1616, les Archiducs Albert et Isabelle ordonnèrent au baron Wenzel Cobergher d'assécher les Moëres, vaste étendue d'eau qui fut transformée en peu de temps en terres fertiles. Situé sur le territoire des Moeres, le Musée des Pompes invite le visiteur à découvrir trois pompes ayant servi à l'assèchement de ce village. Des pompes anciennes d'assèchement des Moëres ont été restaurées par les services techniques de la Commune.
C'est en 1620 que Wenceslas COBERGHER a réussi à assécher une étendue d'eau de 3 000 hectares à l'aide de 23 moulins à vent édifiés sur le pourtour du lac. C'est à cette date qu'est née Les Moëres. Mais depuis cette date, ce village a connu 4 autres inondations. En 1616, les Archiducs Albert et Isabelle ordonnèrent au baron Wenzel Cobergher d'assécher les Moëres, vaste étendue d'eau qui fut transformée en peu de temps en terres fertiles. Situé sur le territoire des Moeres, le Musée des Pompes invite le visiteur à découvrir trois pompes ayant servi à l'assèchement de ce village. Des pompes anciennes d'assèchement des Moëres ont été restaurées par les services techniques de la Commune.
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